La part privée pour les véhicules utilisés à des fins professionnelles sert à compenser proportionnellement l’amortissement et l’entretien. Les coûts pour cela sont cependant nettement moindres pour un véhicule électrique que pour un véhicule à combustion. En conséquence, la part privée devrait également diminuer. Cela fonctionne en Allemagne, mais pas en Suisse. Voilà ce qu’en pense notre directeur Christoph Erni : « c’est ainsi que la Suisse veille activement à ce que les conducteurs de voitures professionnelles électriques non seulement ne soient pas encouragés, mais au contraire soient activement pénalisés ».
En savoir plus à ce sujet dans la chronique actuelle :

https://vision-mobility.de/news/privatanteil-bei-e-autos-wie-sich-die-schweizer-selbst-ins-knie-schiessen-73285.html